janvier 29, 2006

Retour vers le futur passé

Après une semaine de laissage en désuétude de mon blog , je m'en vais vous conter mes tribulations de la semaine qui vient de s'écouler, voire un peu plus.
Commençons déjà avec mon départ de Floride. Je comptais prendre le train de 11h17, histoire de ne pas prendre le suivant à 14h17 qui me mettais un peu juste pour choper mon avion. Et ben en fait ce train là n'était que pour le week end. En semaine, le dernier train de la matinée est à 10h17. Je commence donc par poireauter 3h à la gare. Puis en prenant le bus depuis la gare jusqu'à l'aéroport je finis de détruire ma valise. Après les pitites toulettes à l'aller, je fais un sort au manche téléscopique. J'arrive donc 40 min avant la fin du check in, mais forcément y a la queue. Quand je passe enfin on me signale que ma valise est trop lourde mais que j'ai 15 min pour en acheter une autre et répartir mes affaires entre les 2. Je pars donc avec tout mon barda à la recherche d'un gros truc. Finalement j'achète un gros sac qui convient très bien. Le voyage du retour se passe bien. Y a que des films de merde à la télé sauf "Joyeux Noël", excellent film racontant la fraternisation des camps français, écossais et allemand lors du jour de Noël. Louez le ça vaut vraiment le coup. J'arrive à Paris à 8h local, 2h du mat' pour moi. Le temps de récupérer mon packtage et je chope un bus qui m'amène à Orly d'où je décollerais pour Clermont après avoir encore attendu 3h à l'aéroport. Le train aurait été presque plus rapide en fait. Ma moman vient me chercher à Aulnat et je me fais une bonne nuit de 12h.
Le lendemain était la date officielle de rendage de rapport technique du 2e semestre. J'avais commencé et presque fini le mien mais soudain c'est le drame : mon ordi refuse de démarrer. Je pense que c'est un problème d'alim ou de connexion avec l'alim. J'essaye avec la batterie et l'alim d'un pote qui a le même que moi mais rien n'y a fait, je suis resté brecouille. Je me suis donc retapé mon rapport en un jour et une nuit. Je l'ai terminé + ou - à l'arrache juste avant d'aller en cours le lundi. Mais bon j'étais pas le seul. Aaaaaah l'esprit IFMalarrache. Et puis après il m'a fallut préparer mon ppt pour mas soutenance de mercredi. 20 min pour présenter mes 2 stages. Po évident évident , toussa vu que mon stage en Allemagne en aurait bien mérité 30. Au final je me retrouve quand même avec un ppt trop long, du coup j'ai un peu speedé pour finir dans les temps, ce qui fait que j'étais pas trop à l'aise. Et ça s'est bien vu. Et puis apparemment je fais n'importe quoi avec mes mains quand je présente. On m'a même conseillé d'avoir une baguette pour me "donner de la contenance". Je pensais qu'il suffisait de pas boire juste avant de passer mais bon.
Sinon côté cours, pendant un mois je vais apprendre à devenir le modèle parfait du jeune cadre dynamique prêt à tout bouffer avec des cours de "Leadership", "Job Marketing", de "Stratégie" et j'en passe. Si jamais vous m'invitez je vous conseille de ne pas avoir de parquet. Faut aussi que je me dégote un PFE (projet de fin d'étude) et comme d'hab c'est la guerre pour avoir un projet potable. Tout le monde veut les 2 ou 3 intéressants et évitent ceux tout pourrais ou avec un intitulé trop obscure ou avec un tuteur à la con.
Et puis surtout on retrouve les potes qu'on a pas vu pendant un an pour la plupart et ça fait très très plaisir. Les cheveux ont poussé pour certains, pour d'autres c'est la barbe. C'est assez rigolo ces retrouvailles. Et puis chacun discute de ces stages, des pays qu'il a visité et on apprend plein d'anecdote marrantes et de trucs intéressants sur des pays comme la chine, le Japon, la Nouvelle Zélande, la Norvège ou le Chili. Ca risque d'être bien ces derniers 6 mois en tant qu'étudiant, ça risque d'être vraiment bien.

janvier 22, 2006

Loi de maximium emmerdement

Bon ben mon ordi ne veut toujours pas se lancer quand je le démarre. Un petit sursaut d'1 sec et il s'éteint directement. Pourtant, jeudi soir il avait bien marché. Et bien sûr mon rapport est sur ce foutu ordi. Donc je me le retape en ce moment même. Que du bonheur. Je viens aussi de réalsier que tous mes documents sur mon stage précédent en Allemagne, et dont je vais avoir besoin pour ma soutenance de mercredi, sont aussi sur ce f***ing ordi. Je vais demander à mon tuteur de l'époque qu'il me renvoit tout ça.
Mais la journée va être très très longue aujourd'hui.

janvier 19, 2006

The moineau has landed

Je suis bien arrivé chez moi, sans trop trop de problèmes. Bien sûr je n'ai quasiment pas dormi dans l'avion ce qui fait que je suis éveillé depuis une petite trentaine d'heure. D'où le fait que je sois complètement fucked up, comme on dit dans le jargon. Plus de détails sur mon odyssée quand j'aurai dormi un peu.

janvier 17, 2006

Le retour de Vishnou II

Dernière ligne droite avant mon retour en France :

derniers déboires avec ma @#$%*#@! de machine pour avoir suffisamment de résultats à pour faire joli dans mon rapport, dernier coucou aux gens que j'ai pu cotoyer tout au long de ces mois ici (on discute de ces mois passés ensemble, on se souhaite bonne chance, on se dit qu'on se reverra peut-etre qui sait), dernier repas ce soir avec mon tuteur, dernière soirée chez Francois , Yann, Lloyd et Antoine, dernier package d'affaires dans mes valises, dernier dodo dans mon lit.
Départ demain 11h17 de Boca Raton en train pour etre sur d'arriver à l'heure pour prendre mon avion à Miami à 17h45 (ne jamais sous-estimer la capacité du train à avoir 1h de retard, à tomber en panne ou à s'arreter avant le terminus). Arrivée à Paris jeudi à 8h heure francaise. Poireautage à l'aéroport jusqu'à 13h pour arriver à Clermont un peu avant 15h. Et à partir de ce moment là, je ne pourrais plus me la péter sur mon blog avec ma location à Boca Raton, Florida, USA. Retour à la réalité, la vraie, celle de Clermont-Ferrand Auvergne, de ses -10 matinaux mais qui seront largement compensés par la chaleur humaine des retrouvailles avec la famille et les ami(e)s.

janvier 16, 2006

On se fixe, connaaaard !

Je sais pas si j'en avais parlé ou pas mais lors de ma visite de San Francisco pour Thanksgiving, je m'étais fait contrôler dans le tram. Etant pressé pour prendre le train qui me ramener chez ma cousine à Atherton, j'avais pris un billet à la 1ère machine que j'avais vu. Hors il se trouve que je m'étais muni d'un ticket pour le BART et non pas pour le MUNI qui devait m'amener à la gare. Et bien sûr il a fallut que je tombe sur un contrôleur pour la 1ère fois en 2 jours de visites. Alors il me fait sortir, me demande mon adresse (et bien sûr je donne la bonne comme un con), ma carte d'identité (française hé hé hé), ma taille et mon poids (que je donne en m et kg, il se démerde pour la conversion) et me dis que j'ai 21 jours pour appeler afin de connaître le montant de mon amende. Bon du coup j'ai raté mon train et il m'a fallut attendre 1h le prochain, ce qui fait que j'ai à peine eu le temps de manger un truc vite fait sur le pouce avant de me faire conduire à l'aéroport.
10 jours + tard je reçois "une lettre de rappel de courtoisie" qui m'expose les choix qui s'offrent à moi :
1- me rendre à la court suprême de Californie à une date précise
2- payer une amende de 113$ (pour un ticket à 1.50$)
3- fournir les éléments permettant de régler l'affaire (à condition qu'elle puisse être réglée).
Et bien sûr on m'avertit que si je ne fais rien d'ici les 21 jours qui me sont impartis, l'amende augmente de 300$.
Bon ben le boulet n°1 a encore frappé, genre il est l'ennemi public n°2 derrière Oussama. Alors bien sûr s'en est suivie une longue période de cogitage pour savoir si je laissais passer sachant que j'allais pas tarder à rentrer en France, si j'essayais de rouspéter pour gagner du temps et puis on sait jamais sur un malentendu ça peut passer ou si je payais les 113$ pour ne pas risquer d'avoir les 300$ de + pour avoir jouer au con. Ce qui m'énerve le +, c'est que n'ayant pas de monnaie au moment d'acheter mon ticket, j'avais payé par carte. Or le montant minimum accepté pour le paiement par carte était de 20$. Comme j'étais pressé, que c'était la seule machine dans la station, j'avais pas cherché à comprendre et j'avais déboursé les 20$. Mais du coup devoir payer 113$ paske j'avais acheté un billet + cher toussa paske leur machine s'tait cachée. Et ben ça me fait mal au cucul.
Après moultes tergiversations, j'opte pour le rouspétage et j'écris une lettre bien faite et tout, où j'explique clairement la situation et à laquelle je joint le billet à 20$ qui sert à rien. On est mi-décembre. Il y a 2 jours je reçois une lettre de la cour suprême de Californie. Gros coup de stress avec le coeur prêt à péter la cage thoracique et un bon gros shoot d'adrénaline. Et finalement tout s'est arrangé puisque j'ai été disculpé. Mon "matter" est "dismissed". Mouahahaha, ils avaient rien contre moi les viles pleutres, rien de rien, nichts, nada, quetchi. Bulletproof le vishnou, du vrai béton armé.

janvier 14, 2006

L33t Squeek

janvier 13, 2006

That's the question

More years in your life or more life in your year ?

janvier 12, 2006

Easy posting

"Coucou,

Comme je sais que tu aimes ça, je t'envoie 2 petits calembours trouvés sur le net qui m'ont bien fait rire ... :
Un investissement en Russie, ça se prépare... d'abord, commencez par vous mettre à l'Hébreu. Ben oui, on dit toujours qu'il ne faut pas mettre l'achat russeavant l'Hébreu.

Les électriciens n'ont pas leur égal pour responsabiliser leurs enfants : "sois un ohm, comporte toi ampère", martèlent-ils sans cesse.

Fab"

Et comme tu sais que je suis champion toutes catégories de branlage de mammouth tu me permets de faire un post facile tout en gardant mon standing. Merci, merci du fond du coeur. Je te ferai quelques passes dans le dos à la rentrée pour te remercier ;0)

janvier 11, 2006

Hey ! Teacher ! Leave those kids alone !

Ce matin, je me suis réveillé avec la reprise d' "Another Brick In The Wall" par Korn, qui passée juste quand mon radio-réveil s'est mis en marche. La question qui me turlupine est : est ce que vous croyez que ca peut etre considéré comme une dispense de présence à l'uni ? Pas sur hein. Ouais je m'en doutais bien. Pfffff. All in all it's just another brick in the wall.

Let's face it

janvier 10, 2006

See you in France, cow-boy !

Ayé, le Paderwanou m'a quitté pour prendre son avion cette aprem et regagner les contrées héxagonales qui nous sont si chères. Les adieux ont été déchirant mais nous avons réussi tant bien que mal à contenir notre trop plein d'émotions : "Bon on se revoit bientot, gros. Faudra féter ca ...".
Me voilà donc livré à moi-meme pendant un semaine, seul face à mon projet. Heureusement, il demeure au fond de ma tete une petite voix lointaine qui me répète : "Mais gros t'as pas bientot fini de branler le mammouth ?!". Aaaaah meme loin de moi il est toujours présent. Raaah le con !!!

janvier 09, 2006

Whatever

Vu sur le blog de Benton. Petit dilemne cornélien concernant ce cher vieux W :

"Imaginez que vous êtes photographe de presse. Vous vous trouvez à Washington pour un reportage sur la commercialisation des Donuts. Et d'un coup un seul, survient la tempête du siècle. Tout vole en éclats, le vent emporte les obèses, l'eau envahit la ville. Ville que vous parcourez avec votre appareil à la main, mitraillant de toutes part. Et là, vous apercevez un 4x4 pris au milieu de l'eau qui monte. Il y a un homme à l'intérieur, vous le reconnaissez : c'est George W. Bush. Il ne peut pas sortir du véhicule, la porte est bloquée de l'extérieur, et l'eau monte.
Vous avez donc le choix : sauver Georgie, qui après tout est un homme, ou bien faire la photo qui vous rapportera tous les prix photos, celle de la mort de l'homme le plus puissant du monde...
Alors, répondez honnêtement...
En toute franchise...
...tirage mat ou brillant ?"

Ben brillant, il aime pas quand c'est trop mat le W ...

janvier 06, 2006

Fo que je revomisse avant de rentrer

Voilà, tout est dit. Ben oui quoi, le Nerwan se casse mardi prochain, alors faut féter. Et puis jamais 2 sans 3.

janvier 05, 2006

Mais si c'est lui

Ah la la, que ferais-je sans mon Paderwanou, je me le demande. Je peux toujours compter sur lui , surtout dans les moments difficiles. D'ailleurs il le sent, il le voit bien quand je touche le fond "Non mais franchement t'espères vraiment le finir ton projet ?". Et il a le don pour m'aider à relever la tete, à me remettre sur les rails, à revoler vers un destin plein de succès, de paillettes et de strass. Pas plus tard qu'il y a 10 min, alors qu'on était dans notre bunker de bureau, il me demande "T'as besoin de l'ordi ?". Je lui répond que non je n'en ai pas vraiment besoin. "Ouais ben remercie moi alors, paske comme ca ca t'éviteras de faire le con sur internet et de chatter sur sur MSN". Un messie je vous dit. c'est qu'il a raison le bougre, je suis sur une lancée infernale et ce n'est pas le moment de l'interrompre. J'ai jamais été efficace depuis le début de mon stage. En meme temps c'est pas bien dur mais bon, c'est juste pour le symbole, je sais pas si vous vous rendez compte de ce que ca représente pour moi. Erwan je n'ai qu'une chose à te dire : me'ci, me'ci.

janvier 04, 2006

Les maillons faibles

Ne venez pas en Floride, surtout pas. Qu'est ce que c'est ce pays où il fait si beau et chaud (j'aime bien les contrepétries belges) en janvier ?! Non mais c'est vrai quoi. De qui se fout on ?!
Hier par exemple, après un repas fatfull comme les Américains en ont le secret, alors qu'on prenait le soleil allongés sur la pelouse du campus, une idée étrange mais obsédante s'est soudainement imposée à Erwan et moi : mais qu'est ce qu'on fout ici, on serait pas mieux à la plage ? C'est alors que débute le fameux dilemne cornélien (du nom du chanteur si je ne me trompe pas) qui ne cessera de nous tourmenter : il fait chaud, le soleil est radieux et on se caille dans ces bureaux avec leur clim à la con. Allons allons, finies les conneries, on se met un doigt et on retourne bosser. Sérieux qu'est ce que ça change 2 petites heures à la plage. Ton projet a besoin d'un sérieux coup de collier alors soit fort. De toute façon est ce que tu aurais bossé pendant ce temps. Si tu finis tout en avance pour y aller à la plage et sans aucun remord. On reviendra bosser après. Tu vas le bouger ton gros cul.
Et c'est alors qu'Erwan a eu cette phrase percutante et pleine de sens : "Bourdel, il doit faire au moins 28°C et le soleil tape, qu'est ce qu'il te faut de plus !?". Et effectivement après vérification sur Yahoo, il faisait bien 28°C. C'en était trop pour moi, j'ai été faible, j'ai craqué. Mais que ce soit bien clair entre nous, c'était uniquement la performance préditative de mon ifmacolyte qui m'a poussé à commettre l'irréparable, rien de plus. Il aurait pu faire 30°C ou 35°C, il est bien évident que je me serais immédiatement remis à bosser. Mais pourquoi lutter contre son destin, le ciel nous avait donné sa bénédiction et nous aiguillait en faisant passer tous les feux au vert à notre arrivée.
Finalement la mer fut délicieuse, le soleil radieux (ouais je sais je me répète mais je sais pas ce qu'on peut dire d'autre sur le soleil pour avoir l'air d'un poète romantique) et nos piles complètement rechargées. Sur le chemin du retour, nous essayames une dernière fois d'effacer les nos quelques scrupules restant en lançant une affirmation d'une véracité implacable : "S'ils avaient vraiment voulu qu'on bosse, ils auraient mis l'uni juste à côté de la plage pour qu'on perde moins de temps lors des trajets". Que répondre à ça, je vous le demande ?

janvier 03, 2006

Take a Look In The Future





Soyons optimiste, j'aurai sûrement pas autant la grosse tête.
Soyons optimiste, je finirai bien par aimer ce que je fais.
Soyons optimiste, je serai probablement à la hauteur.
Soyons optimiste, mon travail sera certainement apprécié.
Soyons optimiste, j'aurai forcément une vie après le bureau.
Soyons optimiste, quelqu'un sera évidemment là, à mes côtés, pour me soutenir.
Soyons optimiste, je serai peut-être optimiste.

janvier 02, 2006

Apiniouyeur

Bonnannée à toutes et à tous, bonne santé, bon courage pour l'année à venir, bon bonne de gaz, bon thé divine, bref bon tout. Je vous le dis tout de suite, cette année je n'étais absolumment pas dans le trip Nouel, nouvelan, l'esprit de ces fêtes de fin d'année m'est complètement passé par dessus. Je ne sais pas à quoi cela est dû. Peut être que le fait d'estuber au soleil sur la plage entre 2 bains dans une mer tutoyant allégrement les 22 ou 23°C y est pour quelque chose. Et ce ne sont pas les foultitudes de bonhommes de neige gonflable dans les jardins ricains qui changeront cette impression. Quelques coup de fils passés en hexagone m'ont toutefois permis de quelques peu permis de recoller à la réalité ("Ah ouais il a neigé en Auvergne et là il fait en dessous de zéro. Pas cool. Ici ? Boh c'est chiant le soleil tape pas mal, je suis obligé d'allé souvent me baigner pour me rafraîchir").
Pourtant il était bien évidemment question de fêter la St Sylvestre comme il se doit en compagnie de Nerwan, d'Anne une de ses copines venue passer une semaine en Floride et de Geoffrey, le copain d'Anne. Tout commence chew Nerwan où, après une petite visite au liquor shop, Anne exerce ses talents, ô combien formidables, de faiseuse de cocktails. "Un 1/2 L de rhum chacun, ça vous va les gars ?" Ce sera pas mal pour se chauffer Anne, n'aie crainte. Au menu, Pina Colada, Copa Libre et autres mélanges alcooliques fruités et vice et versa.
Après avoir camouflé les précieux brevages dans d'innocentes bouteilles de jus de fruits, on se dirige vers Miami, à l'hôtel où Anne et Geoffrey passeront la nuit. Ensuite on prend un taxi jusqu'à South Beach, LE quartier où il faut être pour passer le nouvel : océan, plage et immeubles art déco, comme ambiance on fait pire.
[Geoffrey, Anne, moi et Erwan]
On profite de la bonne ambiance de la rue, dela musique et des lumières des clubs tout en sirotant nos potions magiques. On est saoul juste ce qu'il faut et juste à temps pour apprécier comme ils se doivent le compte à rebours et le feu d'artifice.

[Wow, there must be something in there ...]



Un peu avant 2h du mat', on perd Anne et son copain. Avec Erwan on refait quelques allées et venues dans la rue plus pour trouver de quoi se restaurer que les retrouver car on sait que vu la foule et notre état il faudrait être vraiment chanceux pour les retrouver. A 3h du mat', les réserves étant à sec et la fatigue commençant à se faire sentir, Nerwan et moi commençons notre long chemin de croix pour rentrer chez nous. Dans un 1er temps il nous faut traverser le (trop) long pont qui relie South Beach à Downtown Miami. Une bonne heure de marche plus tard on rejoint le downtown où se trouve l'American Airlines Arena et notre station d'outter loop, le petit métro aérien du downtown.
Puis on enchaîne avec le metrorail qui nous amène à la station de train vers 5h. Prochain train pour Boca Raton ? A 7h20. Bon ben on a finit par bien le sentir le plan à l'arrache. Heureusement, un mec à la quarantaine, habillé classe et super sympa l'attend lui aussi, ce qui nous permet de discuter un peu avant que la fatigue ne reprenne le dessus et qu'on s'endorme sur des bancs tels les clodos moyens. Finalement on arrive à Boca Raton à 8h30 et il ne nous reste plus qu'une 1/2 heure de vélo depuis la gare pour regagner nos pénates. Une bonne douche et enfin au lit.
On a donc passé une super soirée, perso j'étais rond juste ce qu'il pour ne pas être malade, et mine de rien on commence à avoir une certaine maîtrise du plan à l'arrache. On va pas tarder à publier une sorte de guide du routard à l'arrache avec les meilleurs coins pour dormir par terre, les trajets qu'il faut absolumment à pied paske t'as pas de caisse.