Vodka, Sex 'n Clopes

Demain matin, prenage d'avion, direction Varsovie mais via Copenhague. C'est ça le problème. Ca me fait prendre un avion à 6h40 pour arriver là-bas à 11h15.

Alors pourquoi me direz-vous. Et bien pour cause de formation sur un logiciel de crash les 3 premiers jours de la semaine. Suivi du grand meeting mensuel sur le rabbit crash (le coup du lapin en voiture pour les non-initiés) avec tous les experts FAURECIA en la matière, c'est-à-dire un pote, moi et 3 autres pélos. Du coup avec mon pote on en profite pour partir plus tôt et faire un peu de tourisme pendant le week-end. Autant le site FAURECIA est dans un coin tout pourri, autant Varsovie ça doit pas être trop mal. En espérant qu'on trouvera un pub qui retransmette le Tournoi des 6 Nations mais spa gagné. Et puis ça va me permettre de lancer mon p'tit commerce de traffic de clopes et de vodka. J'ai déjà des commandes de passer.

Qui t'éclate

Bon contre les idées un peu noires et autres nœuds à l'estomac, rien de mieux qu'une kitty thérapie. Je vous conseille donc trèèèèèèèèèès fortement le site icanhascheezburger.
Pas de présentation pompeuse, vous vous rendrez bien assez vite compte de ce dont il s'agit en allant y faire un tour et en jetant un coup à la mise en bouche que je vous propose :

No news, good news ???

Voilà presque 2 semaine que j'ai fait le 1er pas vers ma frimousse à lunettes préférée et que je n'ai pas de nouvelles. Tout juste 2 ou 3 généraux mails sur la mailing list du Big Crazy Bunch of Gonzons. Je savais qu'a priori une relation à distance ne la tentait guère mais elle m'avait dit qu'elle allait quand même y réfléchir.
De retour en Deutschie, j'étais comme une pile électrique de pas avoir de nouvelles et il me fallait me retenir de l'appeler toutes les 5 min. Je l'ai appelée 3 fois, entendu 3 fois sa voix via le répondeur, laissé 2 messages assez con-con.
Je crois que c'est mort. J'aurais juste voulu avoir une réponse, que la décision soit positive, négative ou pas encore prise. Je voulais juste savoir. C'est pas grave, ça change rien à la semaine passée au ski, à celles passées à Flers et à celles qui se passeront ptet plus tard. Et y a aucune raison de lui en vouloir. Faut reconnaître que c'est pas le genre de relations évidentes à gérer. Faudra juste faire comme si ces 5 min de tête à tête n'avaient pas eu lieu, ne pas trop regarder les photos du ski pendant un certain temps et avaler ce foutu nœud à l'estomac. Pas facile mais pas trop le choix. Mais c'est pas grave. Ça valait vraiment le coup de tenter. Je n'ai aucun regret.

All Brain Storming

Lu parmi les gros titres des niouzes Yahoo!
"A Lyon, le socialiste Gérard Collomb veut gagner sur son nom".
Moué. Moi j'dis c'est un coup à finir par l'avoir dans l'cul.

Oh aime VA

Ou comment poursuivre de manière ludique son apprentissage de l'Allemand grâce à de grands classiques du cinéma doublés dans la langue de Goethe.
1ère leçon avec Top Gun.

Aujourd'hui 2e leçon avec Taxi 2 ...

La La La Laalaalaaaaa Part 2

Mercredi :

Dernière 1/2 journée de ski pour Maud et Ponpon, rattrapés par leurs obligations professionnelles. La météo n'est pas vraiment top, la fatigue de la veille se fait sentir, le moral n'est pas trop là et c'est le cœur gros comme une tartiflette qu'on laisse partir 2 membres du Big Crazy Bunch of Gonzons. Une dernière descente après le repas et on rentre loquer à l'appart' histoire de récupérer de la veille et d'être en top forme pour le lendemain qui s'annonce encore riche en gavage (neige fraîche et soleil).

Jeudi :
On réalise à notre grand désespoir que le lendemain sera la dernière journée de ski. Donc on est remontés à bloc pour profiter à max des 2 derniers jours. On dirige donc nos spatules vers Val Tho. Aaaah Val Tho. Sa neige nickel pour prendre de l'angle et attaquer sereinement, ses grandes pistes bien larges qui descendent comme il faut et reculées jusqu'au fond de la vallée. Régal des spatules et des yeux. Et on s'en donne à coeur joie, on attaque tout ce que peut tellement c'est. Et on attaque encore plus entre 2 plaques de verglas et 3 noobs en détresse pour arriver à choper les remontées de liaison et pouvoir rentrer sur Courchevel sans rester coincés et devoir prendre la navette.

Vendredi :
Ben pareil. A ce stade là les mots en deviennent presque superflus :0)

Samedi :
Pas la même pêche pour se réveiller. Grimaces au p'tit déj' à la place des sourires et taquineries habituelles. P'tain pourquoi y faut que ça finisse. On se retient d'appeler le proprio pour dire qu'on reste une semaine de plus mais c'est pas facile. Rangeage, nettoyage et chargeage de la voiture. Et on a réussi une grosse grosse perf' de ce côté là. Car à l'aller on était déjà pas mal chargés pour 3 gonzons, genre avec la banquette rabattues et les skis sur le toît. Or il se trouvait que les 2 autres gonzons rentraient en train mais qu'il fallait les descendre à la gare de Moutiers. Et vas y que je t'installe 3 gonzons à l'arrière et que je leur en pile des sacs, une board et toutes les counneries qui rentrent plus dans le coffre sur la couenne jusqu'à ce qu'ils en aient au menton. Bon on aurait pas fait 500 km comme ça mais jusqu'à Moutiers ça passe et on a bien rigolé. Arrivés à la gare on s'improvise un pic-nic. On ne parle pas trop, on tire plutôt la tronche. On se demande s'ils n'auraient des bureaux d'étude dans le coin. L'estomac tout noué, j'avoue à ma petite frimousse à lunettes préférée ce que je ressens pour elle. Sa réponse n'est pas vraiment positive mais pas totalement négative non plus. En attente depuis.

Dimanche :
Vieux retour en Deutschie à ruminer de vieilles pensées noires paske 6h c'est long et qu'on a rien d'autre à faire en conduisant

La La La Laalaalaaaaa Part 1

Après un retour fourbu dimanche soir, un apéro improvisé lundi soir, un diaporama improvisé hier soir et surtout une grosse flemme post-semainauskistique, voilà un compte-rendu de la trèèèèèès trèèèèèès bonne semaine passée au ski.

Vendredi :

Road trip jusqu'à Montbéliard chez mon châtelain de pote de Seb. Retrouvailles, ripailles, poker et préparage d'affaires à l'arrache. On se fixe pour objectif de tout faire pour partir demain à 8h30 pour vraiment partir à 9h.

Samedi :

Il a neigé pendant la nuit, idéal pour se mettre rapidement dans le bain. Départ comme prévu à 8h3 .... eeeeuh 9h30. On reçoit un texto du convoi des 4 autres gonzons partis de Paris à 5h30. Respect. Petit crochet par la Suisse, bouchon à Albertville et Belges qui font chier avant Moutiers. On débarque dans l'appart' qui est nickel, on se retrouve tous ensemble, ça discute sec et on rate l'achat des forfaits à 5 min près. Rediscutaille, ripaille et un magnum de whisky (entamé certes) torché en une soirée. La semaine peu commencer.
Dimanche :
Bonnet ? OK ! Boots et board ? OK ! Forfait ? OK ! Go go goooooo. 1ère journée de ski, 1ères sensations. La neige est un peu dure mais se ramollit au cours de la journée. Ca souffle fort en haut des sommets genre à te faire tomber quand tu descends du télésiège. On en profite quand même à fond.

Lundi :
Temps gris. Des nuages couvrent entièrement le ciel et on ne distingue le relief qu'à 2 ou 3m. Pas évident pour anticiper les tas de neige, les plaques de verglas, les cassures et les bosses. Et il neige. Fort et tout le temps. On rentre trempés mais l'oeil brillant : demain ça va être trop bieeeeeeeeeeeen !!!!

Mardi :
Ciel bleu. Soleil éclatant. Et de la peuf toute fraîche et partout. Le temps idéal pour aller taquiner à Val Thorens. Malheureusement toutes les pistes et remontées ne sont pas ouvertes car les pisteurs font péter de la dynamite pour prévenir les risques d'avalanche. Pas grave, on prend des chemins détournés, souvent en hors piste, trop tentant. On se paume à Méribel ("mais p'taiiiiiiin on avait Motaret !!!! Z'êtes à Méribel là !!!!"). On fait à peine un tour à Val Tho qu'il faut déjà repartir pour rater les liaisons. De retour à Courchevel. Je décide de suivre Ponpon, l'autre snowboarder et narvalo de service qui a pour devise "Si tu suis les pylônes du télésièges, tu redescends jusqu'au télésiège". Certes. Mais le bougre n'a pas son pareil pour dégoter LE passage gavé de peuf qu'il faut avoir. Il faut peut-être tiré tout droit entre 2 rochers dans une pente au début mais après c'est du pur bonheur. Petite session entre les sapins pour rentrer complètement vanné mais HEU-REUX.

Rambo s'tâte

J'vais tous les pourrir

De rentrage d'une semaine de ski éééééénoooOOOooorme. Racontage et photos très bientôt. Mais un fatigué là quand même. Alors un p'tit post facile avec une vidéo rigolote. Ciao.

FLASH
envoyé par markito-2008