juin 22, 2006

Sinking studies in alcohol

Soutenance passééééée !!! Pas mal assurééééée !!! Chuis tout bourééééé !!! Car cela se doit d'être fêtééééééééé !!!! Ouéééé !!!

juin 20, 2006

The beginning is the end is the beginning

Rapport de stage rendu. Soutenance en bonne voie de soutiendage. Contrat signé et envoyé. 1ers pas dans la vie active lundi dès poltron minet. Reviendage à Clermont vendredi pour la remise des diplômes.
Ca sent la fin et le début tout mélangés ça. C'est confus, c'est soudain, c'est beaucoup et c'est ... tisuite maintenant !!!

juin 17, 2006

L'homme de fer a repassé

Aujourd'hui j'ai franchi une nouvelle étape du rite initiatique pour devenir un parfait homme moderne. Cette épreuve est l'une des plus redoutées tant elle estexigeante et pousse les gens dans leurs derniers retranchements. Tous la craigne plus que leur 1ère poussée d'acnée et nombreux sont ceux pour qui le parcours s'achève ici. Certes il est possible de survivre en ayant recours à d'habiles subterfuges essayant tant bien que mal de parer à ce manque cruel de compétence. Mais tout ça n'est que de la poudre aux yeux et la vérité finit toujours par éclater au grand jour. Je veux bien sûr parler du repassage de chemise. Ca y est, ça c'est fait. Je ne suis peut-être pas encore ceinture noire 3e dan mais désormais il n'est pas de combat que je ne puisse remporter.

juin 15, 2006

Born to be wild

juin 14, 2006

No suicide, man

Qq nouvelles paske il se passe pas mal de choses en ce moment mais pas trop d'humeur à chercher le bon jeu de mots ou l'expression alambiquée. Juste pour dire qu'on me fait une offre de job intéressante (faire du crash test comme consultant chez un équipementier automobile connu (enfin au moins dans le milieu)) même si on veut que je précipite ma fin de stage pour commencer au plus tôt et avec un salaire un peu "just". Mais bon j'hésite, ca me fais chier de me précipiter comme ça. J'ai pas envie de foirer mon stage mon diplôme et mon 1er job par excès de précipitation. Mais bon en même, hésiter devant une belle offre avant même d'être diplômé et vouloir négocier qq kilo euros supplémentaire, c'est peut-être faire la fine bouche, je sais pas. Ca me tente bien c'est vrai. Alors est-ce que ça vaut pas le coup de se lancer et de tout faire pour que ça se passe bien.

Je pense que je flippe surtout de devoir m'engager sur un truc aussi important sans être sûr de ce qu'on me propose ni vraiment savoir ce que je veux.

Bon sinon j'ai de quoi m'occuper à côté pour ne pas toujours penser à tout ça. Pendant 2 jours j'ai été à bloc sur ma soutenance. Qui c'est moyennement bien passée mais bon enfermés à 10 dans une petite salle où on crève de chaud, avec moi qui passe bÔcoup trop de temps sur tout, et un autre qui en rajoute encore, forcément faut s'attendre à ce que les "pitites remarques" soient cinglantes. Mais bon du coup je suis blindé pour la soutenance IFMA. Bon et puis le rapport qu'il va bien falloir enfin terminer de finir.

Et puis dormir aussi un peu, ça fait du bien des fois

juin 11, 2006

Dirty Pretty Songs

Aye voici le retour du DewPlayer après de longues semaines d'inactivité. Le serveur gratuit où j'hébergeais tout mon bourdel a eu qq gros problèmes et m'a paumé toutes mes donnée.
Mais tout ça n'est plus désormais. Et y a rien de tel qu'un bon p'tit Libertines pour fêter ça. C'est vraiment l'un de mes groupes favoris. C'est punk et un peu branlant dans , mais qu'est ce que ça accroche. Et je ne m'en lasse pas. Mais Pete Doherty a délaissé son pote Carl Barât et sa musique pour lacoke, le crack, les ecsta et la une des tabloïds. Pete est peut-être le plus libertin des deux mais heureusement que Carl et ses Dirty Pretty Things sont là pour faire perdurer toute la verve et la punkitude british qui caractérisait si bien feu leur groupe.

juin 09, 2006

Candy Raton

James Cameron avait raison. Il a voulu nous lancer un message à travers ses 2 opus de Terminator. Un avertissement pour un danger nous menaçant directement, aujourd'hui, ici, maintenant. Le soulèvement imminent des machines contre la race humaine. J'en ai fait la triste et amère expérience aujourd'hui.

Tout commence par un scène en apparence anodine mais annonciatrice de cette menace sous-jacente : à la pause de 10h, j'allais prendre mon Mars quotidien au distributeur. J'introduis un pièce de 50 cents et appuie sur le bouton correspondant à mon choix. Seulement le logement sensé contenir mon Mars est vide. Pas la moindre trace de barre chocolatée au caramel fondant. "Bon ben c'est pas de chance" me dis-je, ma penautitude (et surtout mon hypoglycémie que j'allais devoir me trimballer pendant 2h) m'empêchant de prendre conscience de toute la gravité de la situation.

A midi, je prévois d'aller manger avec des collègues au bord d'un chouette petit étang à 5 min de l'usine. Je m'en vais donc quérir des sandwichs auprès du distributeur prévu à cet effet. En panne qu'il était. Je traverse donc toute l'usine à la recherche du second distributeur de pitence à emporter. Il fonctionne. Soulagé par cette petite bonne nouvelle, j'étais bien loin de me douter du sâle et vil tour que ces bondieuseries de machines m'avait concocté. Car je ne disposais pas de monnaie en pièces sonnantes et trébuchantes. Je ne pouvais compter que sur un billet de 5 euros pour assurer mon salut gastronomique. "Pas de blem y a une machine à faire de la monnaie juste à côté". Et c'est à ce moment là, si proche du but, qu'elles m'ont ascéner le coup fatal. En panne ! Ce foutu distributeur de monnaie était en panne ! Le fameux coup de la panne. Y a rien de mieux pour que je m'emballe. J'opère donc un retour stratégique au 1er distributeur de monnaie et reviens sur les lieux ma cuisante défaite pour remmetre ce distributeur à sa place et lui apprendre la vie. "Vas y maintenant crache le ce jambon emmenthal".

J'ai fini par remporter une précieuse victoire mais pas la guerre. Cette dernière s'annonce âpre et longue.

juin 06, 2006

I've got a mouse in my mouth

I've got a mouse in my mouth
Is it because I've got a cheesy breath
Or because she met my cat and want to avoid death
I've got a mouse in my mouth
Her tail spreads out like a spaghetti
Don't know what it's searching for
I try hard to keep my nose
Far from this evil tickling purpose
I've got a mouse in my mouth
All around people look at me
They think I'm completely crazy
Well appearences aren't in my favor
I must look like a spaghetti charmer
I've got a mouse in my mouth
Don't know how long it can still lasts
I'm afraid I can't avoid the blast
Suddenly all ends in a violent sneezing
The wall host a pretty red hairy abstract painting
Shouldn't have jigged like that on my tongue
Shouldn't have played with my nose for too long
I got a mouse in my mouth
Now she must be on cheesy clouds in paradize
I got a mouse in my mouth
And my cat looks at me with such jealous eyes

juin 05, 2006

It's haaard to leave this plaaace after all these fucking conceeerts

Je savais que ça allait être bien mais j'ai été encore plus surpris. Très grand moment hier soir à la Coopé pour la dernière journée du festival Europavox.

Bien sûr telle une grosse loutre, je ne pense pas un seul instant que comme c'est un festival et donc qu'il va y avoir plusieurs groupes, les hostilités vont commencer avant les traditionnelles 20h30. Un coup de fil propice (et donc pacifique) de mon pote Juls descendu de Karlsruhe me fait me ramener mes p'tites fesses le plus vite possible à la Coopé.

Bon j'ai râté le 1er concert avec Teitur, songwriter scandinave de talent, et j'arrive au milieu de la prestation de Three and a Quarter. Ca bouge bien. C'est du bon rock qui pulse avec une pointe de reggae pour donner envie de se secouer encore plus. Très bon.

On enchaîne ensuite avec les Irlandais de The Chalets et leurs 2 poupées. C'est pas mal, bonne rythmique et les 2 chanteuses sont rigolotes à regarder se trémousser et nous raconter qu'elles ne savent dire que 2 choses en Français : "Avez vous des sandwichs au jambon" et "Où est la gare".

La suite est assurée avec brio par Sunshine qui joue vite et fort et donne l'impression de jouer sa vie sur scène. Rien de tel pour dépoussiérer les oreilles.


On approche de la fin et tout le monde commence à attendre Dionysos avec une certaine impatience. Mais les 6 belges de Malibu Stacy n'en ont cure et font bien mieux que de nous faire patienter. Du bon pop rock fougeux à souhait agrémenté d'un synthé psyché dans la plus pure veine Hushpuppies. Bref un truc qui file la méga patate. On ne pouvait pas rêver mieux pour se préparer à la venue des dieux de l'Olympe du rock français.


Mise en place du décors avec 2 grands arbres tout droit sortis de l'univers de leur dernier album. Les lumières s'éteignent. Le groupe presque au complet arrive sur scène. Matthias finit par débouler bondissant comme un farfadet. On peut commencer avec un énoÔorme "Giant Jack". Les 5 nous pondent ensuite une version endiablée de "L'Homme qui pondait des oeufs", suivie de près par "Don Diego 2000", l'une des rares petites incartades au dernier album. Ils nous enovrent ensuite de "Miss Acacia", "La Métamorphose de Mister Chat", "Old Child", "Le Retour de Bloody Betty". Mon coup de coeur revient à "Neige", avec une sublime version alternant les passages calmes et les passages plus où on sent que Matthias est vraiment à fleur de peau. D'autant plus émouvant quand on sait qu'il doit penser à sa maman en la chantant. Un autre GRAND moment, la foule gueulant un monstrueux "TA GUEULE LE CHAT TA GEULE LE CHAT TA GUEULE LE CHAT" sur "La Métamorphose de Mister Chat" qui nous a valut de recevoir la médaille d'or du plus beau "ta geule le chat" de la tournée par Matthias. Je sais pas si c'est vrai ou s'il le dit à chaque fois pour chauffer la salle, mais le fait que ce soit la seule salle qu'ils aient faite 2 fois dans cette tournée (avec l'Olympia aussi) tend à me faire pencher pour la 1ère. Et puis ils ont fini avec un rappel orgasmique d'une chanson (ooooooh) où ils ont enchaîné de suite en versions longues (aaaaaaah) "Song for a Jedi", "Coccinelle" et leur thème de fin de prédilection offrant ainsi l'occasion à Matthias de slammer jusque tout au fond de la Coopé et en se faisant remonter dans les gradins par la foule assise. Le temps de se trouver un p'tit rebord pour entonner une chansonnette a capella et c'est parti pour la descente et le retour sur la scène. S'en ait suivi une ovation titanesque de presque 10 min pour les 5 divinités d'un soir qui nous ont prouvé, si besoin était, qu'il s'agit bien du meilleur groupe live du monde. Si si j'insiste. Car le monde ce divise en deux : ceux qui ont assisté à un concert de Dionysos et les autres. Désolé mais c'est ainsi.

juin 04, 2006

Muswikend


Hier midi, je revenais de la FNAc après avoir quelques "petites" emplettes musicales et vlatipa que je tombe sur une vieille connaissance de prépa, Guenilles du bon ptit groupe Kissinmass , trimballant 2 guitares en direction de la scène installée place de la Victoire. Dans le cadre du festival Europavox qui bat son plein de puis le début de la semaine, il y a eu la version off hier. Toute l'aprèm les concerts se sont succédés avec comme point de mire la prestation des Kissinmass. Ce fut bien sympa et dans la pure lignée des Hushpuppies.

Et ce soir j'enchaîne avec du gros, du très gros : les 5 piles électriques de Dionysos.

juin 03, 2006

juin 01, 2006

La belle à Flers

De retour à Clermont après 2 jours passés quasiment dans le train pour me rendre dans cette bien belle ville de Flers pour un entretien. Ca commence super bien mercredi : arrivée gare de Lyon à 14h et départ depuis Montparnasse à 19h38. Ca va, j'ai beau être une grosse truffe de provincial pas très au fait des us et coutumes parisiennes en ce qui concerne le transport, je l'ai pas raté la correspondance. Une fois arrivé à Flers j'ai été accueilli par le pote de mon binôme de choc jb et le lendemain je me suis frotté à la RH et au boss du département où je pourrais peut-être travailler. Enfin quand je dis "frotté", ne vous méprenez pas. Même s'il s'agit d'une sorte de jeu de séduction à la "allez dis le que je te plais" "ouais mais non faut voir", ça reste très métaphorique tout ça. Au final mon profil les intéresse beaucoup. Ca bloque juste sur le fait que je ne suis pas directement opérationnel là tout de suite sur leurs logiciels et que je ne suis pas non plus dispo de suite hop là coucou c'est moi.
Ca me semble quand même plutôt bien parti, je suis assez confiant. Bon en même temps je vais pas trop m'avancer sur la chose paske quand je crie mon bonheur sur tous les toîts ça finit par me revenir assez violemment dans la gueule. Donc chuuuuuuut vous en savez déjà trop.
Pour quel job c'était ? Consultant en simulation. Mon job sera de faire semblant d'être consultant. Déjà que ces fieffés gredins ont la réput' de n'être que du vent alors je vous raconte pas comment je vais tous les enrhumer.