Une, deux, une, deux, une demie

Suite à l'augmentation gastronomique du prix du pétrole et aux drastiques réformes du ministère de la Défense, le traditionnel défilé du 14 juillet subira une sévère réduction budgetaire. Heureusement on nous assure, photos à l'appui, que la prestance de l'armée française ne sera nullement entamée.

Le tiercé dans le désordre

Alors pour commencer, toutes mes sincères ficelles de caleçon à ma soeurette qui a eu toutes les écoles qu'elle voulait et pas des moindre. Parmi elle Paris et Lyon. Scusez du peu. Elle nous a péter les couilles toutes l'année à nous reprendre à la moindre faute d'orthographe ou d'utilisation des cas particuliers du subjonctif imparfait mais ça valait le coup. Et puis vu le nombres de dictées que je lui ai fait faire, je crois pouvoir dire qu'une bonne partie de sa réussite est due à moi. Si si. Bon il reste plus que le cruel dilemne soeurette : Lyon ou Poitiers ? ...

Sinon j'ai passé un super week end à Berlin avec d'autres Français(es). Y a pas à dire Berlin ça envoie grave du schnitzel. Cette ville a tellement été marquée par l'histoire qu'on en prend plein les mirettes de tous les côtés et qu'en 100m on a l'impression d'avoir complètement changé de ville. Par contre c'est grand Berlin. Très grand. Nos petits petons ont été mis à rude épreuve et s'en souviennent encore.

Et pour finir, marre marre marre des giboulés de juillets où en s'en prend plein la gueule en rentrant en vélo alors qu'il y a 2 min il faisait (presque) un grand soleil.

B-E-R-L-I-N

Petits rots de l'apéro. Petits rats de l'opéra.

J'avais oublié à quel point ces 2 là pouvaient être cons.

L'Euro de l'apéro (la chanson du dimanche S03E13)
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Mais ... Mais ... Mais c'est de la merde.

Branle-bas de combat en arrivant très tôt au boulot ce matin (une vague histoire de pote venu dormir chez moi car coincé dehors et qui commence tôt le matin à la Werk). "Le disque commun est plein. Faut faire le plus de place possible". Alors c'est parti pour une séance 5S des plus radicales. Ca supprime sauvagement tout ce qui mérite de l'être. Un peu moins les trucs qu'on sait pas trop mais qui peuvent servir, on sait jamais. Du coup on arrive à avoir suffisamment de place pour pouvoir commencer à zipper tout ce qui peut l'être. Malgré tous ces efforts, l'espace occupé sur le disque reste anormalement gastronomique. Coup de fil de l'IT, le verdict tombe un certain Vincent L. possède plus de 300Go de données. Gasp. Difficile de soutenir le grand regard accusateur des collègues. Après les avoir rassurer sur le fait que je ne faisait aucun recèle de DivX et que je ne stockais pas ma collèc' perso de vidéos de cul sur le disque du service, il était plus que temps de partir à la chasse des Go superflus. En dichotomisant mes différents dossiers, je suis tombé sur un unique fichier de plus de 200 Go à lui tout seul. C'est le fichier dans lequel écrit chaque commande effectué à la souris avec le logiciel de pre-processing. A tout casser, il dépasse normalement pas les 30 Mo. Y a donc un gros blem'. Surtout qu'il continue à écrire dedans encore et encore ce con, alors que je ne fais rien du tout. Alors certes je l'avais pas quitté en partant hier soir mais bon normalement il reste tout sage et il attend gentiment qu'on revienne sans faire de couneries. Bref. On quitte ce putain de logiciel, on vire cet enfoiré de fichier et on sourit quand les collègues déballent sur ces putains de Français qui foutent tout le temps la merde. Par contre j'aurais bien aimé leur demander si c'était suffisant pour justifier une nouvelle invasion de leur part mais je savais pas dire invasion ...

Weekly Kitteh

Total kaputt

Après un mois plus que rude car principalement dédié à la picole en tout genre, la reprise basketistique le fut encore plus, rude. Paske c'est bien beau d'enquiller les Weizenbier devant l'écran géant où sont retransmis TOUS les matchs de l'Euro, d'enfiler les binouzes entre 2 morceaux au Hurricane festival, d'enchaîner les Ti-punch au mariage et les verres de vin pour oublier la putain de défaite, de vider les bouteilles de Martini qui traînent avec qq p'tits calva pour faire passer toussa paske y a Thomas qui pend sa crémaillère, mais un jour ou l'autre ça se paie. Cash. Ben aujourd'hui c'était ça. Au boulot déjà. Et pis surtout au basket après.
A part un 3 point sorti de nulle part et 2 ou 3 passes bien senties ben c'était pas joli joli à voir. LA grosse misère dès qu'il fallait activer un peu les jambes qui devenaient de plus en plus lourdes et de plus en plus pleines de crampounettes. Enfin bon ça permet de prendre conscience qu'il va falloir arrêter les conneries et reprendre le droit chemin d'une vie saine et équilibrée. Mais ça attendra bien la fin de ce week end et du road trip à Berlin.