mars 25, 2007

Trotski tue le ski

De retour d'un séjour dans les Alpes à sniffer de la peuf à longueur de journées. Fatigué, courbaturé, le nez irrité, mais heu-reux. 3 ans que je n'avais dévalé, ma fidèle Burton aux pieds, les pistes à la recherche de gros kicks et de neige fraîche. 3 longues annéeà ronger mon leash, à attendre de pouvoir enfin rechausser mes boots. Et quoi de mieux que 3 vastes vallées à dévaller pour se remettre dans le bain.
1ère bonne nouvelle, le snow c'est comme le vélo ça ne s'oublie pas. Une p'tite journée de chauffe et c'est reparti à curver comme au bon vieux temps. Et puis rien de tel qu'une bonne série de grosses taules pour se remémorer les grands principes fondamentaux de la curve. "Ah vi c'est vrai c'est pas comme ça qu'il faut faire". "Ah ben comme ça non plus ça passe pas".
Côté météo, on a connu le même scénario toute la semaine : le matin, des éclaircies laissaient présager une belle journée mais rapidement le ciel se couvrait et parfois la neige tombait. Pas tip top comme temps paske avec une luminosité où on ne distingue plus la neige du ciel, il est bien difficile d'apercevoir les bosses qui se pointent sournoisement au dernier moment sous notre nez ou d'arriver à jauger correctement où s'arrête la piste ... Mais comme on dit ici "Temps pourri, neige extra pardi !". Et ça n'a pas dérogé à la règle. Très très bonne neige et ça fait bien plaisiiiir.
Et samedi on a connu le summum de l'apogée à son zénith : temps splendide, neige nickel et personne sur les pistes pour cause de fin et de début de location. Du coup gros gavage à Val Thorens histoire de bien finir la semaine.

2 commentaires:

Max a dit…

Ouais ba yen a qui s'en font pas !
Mais le must du must c'est quand même l'ancestrale tartiflette au Nutella, le soir, de retour au châlet.
Y a pas à dire : nos ancêtres savaient se soigner.

Vishnou a dit…

Tartiflette Nutella, on n'a pas fait. Tartiflette tout court c'est déjà pas mal. Mais je me souviendrais de la bonne parole des anciens. Et puis avec ça, si tu fais confiance à la gravité, tu dois descendre les pistes encore plus facilement.