Ce qui est précieux

L'émotion m'étreint, mon coeur palpite, mon oeil gauche se mouille, ma gorge se sèche comme une pampers ultra absorbante. Ca va peut-être vous sembler bâteau mais je suis sur le point de chavirer. Car ça y est il est enfin sorti et je me le suis enfin procurer. Le dernier tome du Combat Ordinaire, le chef d'oeuvre bédéistique de Larcenet. Chef d'oeuvre tout court d'ailleurs. Je sais que l'homme ne supporte compliment surtout quand il est comme ici. Mais bon comme il ne me lit pas, on s'en branle. Il a beau ne pas toujours être marrabt j''aime tout ce qu'il fait. Il a beau être un râleur de 1ère et se contredire comme il change de casquette, je trouve le personnage attachant et le respecte pour tout ce qu'il fait et raconte.
Mais trèves de gfaléjades car je me trouve face à un dilemene des plus cornéliens : dévorer ce 3e et dernier tome au plus vite ou attendre pour le savourer au maximum. Prendre immédiatement une overdose de bonheur bullaire ou le déguster avec parcimonie pour perdurer le plaisir encore et toujours. Ce sera mon Combat Ordinaire.