juin 09, 2006

Candy Raton

James Cameron avait raison. Il a voulu nous lancer un message à travers ses 2 opus de Terminator. Un avertissement pour un danger nous menaçant directement, aujourd'hui, ici, maintenant. Le soulèvement imminent des machines contre la race humaine. J'en ai fait la triste et amère expérience aujourd'hui.

Tout commence par un scène en apparence anodine mais annonciatrice de cette menace sous-jacente : à la pause de 10h, j'allais prendre mon Mars quotidien au distributeur. J'introduis un pièce de 50 cents et appuie sur le bouton correspondant à mon choix. Seulement le logement sensé contenir mon Mars est vide. Pas la moindre trace de barre chocolatée au caramel fondant. "Bon ben c'est pas de chance" me dis-je, ma penautitude (et surtout mon hypoglycémie que j'allais devoir me trimballer pendant 2h) m'empêchant de prendre conscience de toute la gravité de la situation.

A midi, je prévois d'aller manger avec des collègues au bord d'un chouette petit étang à 5 min de l'usine. Je m'en vais donc quérir des sandwichs auprès du distributeur prévu à cet effet. En panne qu'il était. Je traverse donc toute l'usine à la recherche du second distributeur de pitence à emporter. Il fonctionne. Soulagé par cette petite bonne nouvelle, j'étais bien loin de me douter du sâle et vil tour que ces bondieuseries de machines m'avait concocté. Car je ne disposais pas de monnaie en pièces sonnantes et trébuchantes. Je ne pouvais compter que sur un billet de 5 euros pour assurer mon salut gastronomique. "Pas de blem y a une machine à faire de la monnaie juste à côté". Et c'est à ce moment là, si proche du but, qu'elles m'ont ascéner le coup fatal. En panne ! Ce foutu distributeur de monnaie était en panne ! Le fameux coup de la panne. Y a rien de mieux pour que je m'emballe. J'opère donc un retour stratégique au 1er distributeur de monnaie et reviens sur les lieux ma cuisante défaite pour remmetre ce distributeur à sa place et lui apprendre la vie. "Vas y maintenant crache le ce jambon emmenthal".

J'ai fini par remporter une précieuse victoire mais pas la guerre. Cette dernière s'annonce âpre et longue.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

t'as regardé la marque des machines? Cyberdin, non?

Anonyme a dit…

Si tu veux mener une guerre, je veux bien être ton soldat, car un homme capable de sortir ça : "...en panne ! Le fameux coup de la panne. Y a rien de mieux pour que je m'emballe...". J'ai rien de plus à dire: t'es un chef !!

Anonyme a dit…

Et encore, tu aurais pu avoir le coup du MArs qui veut pas tomber car le serpentin a pas fait le nombre de tour réglementaire!
Bonne fin de SFE!

Vishnou a dit…

Dans ce cas là un bon coup de tatane bien placé dans la machine et elle se montre tout de suite plus compréhensive :0)