février 13, 2008

La La La Laalaalaaaaa Part 1

Après un retour fourbu dimanche soir, un apéro improvisé lundi soir, un diaporama improvisé hier soir et surtout une grosse flemme post-semainauskistique, voilà un compte-rendu de la trèèèèèès trèèèèèès bonne semaine passée au ski.

Vendredi :

Road trip jusqu'à Montbéliard chez mon châtelain de pote de Seb. Retrouvailles, ripailles, poker et préparage d'affaires à l'arrache. On se fixe pour objectif de tout faire pour partir demain à 8h30 pour vraiment partir à 9h.

Samedi :
Il a neigé pendant la nuit, idéal pour se mettre rapidement dans le bain. Départ comme prévu à 8h3 .... eeeeuh 9h30. On reçoit un texto du convoi des 4 autres gonzons partis de Paris à 5h30. Respect. Petit crochet par la Suisse, bouchon à Albertville et Belges qui font chier avant Moutiers. On débarque dans l'appart' qui est nickel, on se retrouve tous ensemble, ça discute sec et on rate l'achat des forfaits à 5 min près. Rediscutaille, ripaille et un magnum de whisky (entamé certes) torché en une soirée. La semaine peu commencer.
Dimanche :
Bonnet ? OK ! Boots et board ? OK ! Forfait ? OK ! Go go goooooo. 1ère journée de ski, 1ères sensations. La neige est un peu dure mais se ramollit au cours de la journée. Ca souffle fort en haut des sommets genre à te faire tomber quand tu descends du télésiège. On en profite quand même à fond.

Lundi :
Temps gris. Des nuages couvrent entièrement le ciel et on ne distingue le relief qu'à 2 ou 3m. Pas évident pour anticiper les tas de neige, les plaques de verglas, les cassures et les bosses. Et il neige. Fort et tout le temps. On rentre trempés mais l'oeil brillant : demain ça va être trop bieeeeeeeeeeeen !!!!

Mardi :
Ciel bleu. Soleil éclatant. Et de la peuf toute fraîche et partout. Le temps idéal pour aller taquiner à Val Thorens. Malheureusement toutes les pistes et remontées ne sont pas ouvertes car les pisteurs font péter de la dynamite pour prévenir les risques d'avalanche. Pas grave, on prend des chemins détournés, souvent en hors piste, trop tentant. On se paume à Méribel ("mais p'taiiiiiiin on avait Motaret !!!! Z'êtes à Méribel là !!!!"). On fait à peine un tour à Val Tho qu'il faut déjà repartir pour rater les liaisons. De retour à Courchevel. Je décide de suivre Ponpon, l'autre snowboarder et narvalo de service qui a pour devise "Si tu suis les pylônes du télésièges, tu redescends jusqu'au télésiège". Certes. Mais le bougre n'a pas son pareil pour dégoter LE passage gavé de peuf qu'il faut avoir. Il faut peut-être tiré tout droit entre 2 rochers dans une pente au début mais après c'est du pur bonheur. Petite session entre les sapins pour rentrer complètement vanné mais HEU-REUX.

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